Camille de Girlboost avec la pancarte Girl Power

Entreprendre pour apprendre : la leçon n°1 que je retiens de mon entrepreneuriat.

Quand tu entreprends, tout est possible.

Je pense qu’il a de très nombreux enseignements que l’on comprend quand on entreprend… Entreprendre pour apprendre. Entreprendre, c’est un peu faire un apprentissage très accéléré de la vie et de notre façon de voir les choses, de travailler, de s’investir… 

On se doit d’être du jour au lendemain un couteau suisse qui apprend constamment pour développer ses compétences et son projet, son entreprise. C’est presque un champ d’expérimentation infini. Et c’est vraiment la magie de l’entrepreneuriat… Bon il y a plein d’autres choses avec cela, mais entreprendre, c’est grandir et évoluer à vitesse grand V sans même que ce soit un but recherché ou un objectif. C’est juste comme cela que ça se fait… 

Et aujourd’hui, j’avais envie de partager avec vous un des enseignements que je retiens de mon entrepreneuriat. Alors, en toute honnêteté, je pense qu’il s’applique à tout le monde. Vous le savez, je le dis régulièrement mais pour moi, entreprendre, ce n’est pas vraiment un verbe d’action en soi. C’est plus un état d’esprit dans lequel notre curiosité n’a pas de limite. C’est pour ça que l’enseignement dont je vais vous parler s’applique très certainement à toutes et à tous. Mais ici, on va l’appliquer au cadre de l’entrepreneuriat parce que c’est dans ce cadre que je l’ai compris. 

Quand tu entreprends tout est possible. 

Quand tu entreprends tout est possible

Je ne sais pas si vous avez déjà été confrontée à une situation comme par exemple : vous organiser un grand repas avec tous vos amis, ou votre famille. Et chacun doit faire quelque chose, apporter quelque chose. Et vous vous retrouvez à devoir faire un plat spécifique qui a été choisi par votre groupe : un tiramisu, un Osso Bucco, un carpaccio de tomates… 

Et là c’est la page blanche : vous annoncez que clairement, c’est en dehors de vos compétences, vous ne savez pas faire, et vous ne garantissez pas le résultat. 

Cet exemple, ça peut être pour tout et n’importe quoi, une activité, un loisir créatif, un évènement… On a cette habitude dans notre vie de tous les jours de se cantonner à ce que l’on connaît. C’est un peu le même principe que la zone de confort ! Alors bien sûr, parfois, on est curieuses et on va vouloir tester un nouveau sport, une nouvelle recette, etc… Mais on choisit le moment où on a envie de le faire ! On se renseigne, on prend le temps etc… Et si on le sent, si on sent vraiment que l’on en a envie : on y va. 

Quand quelqu’un nous impose d’une manière une autre quelque chose qui sort de notre champ de compétences que l’on connaît, on a tendance à agir sur la défensive. Ce n’est pas l’envie de se challenger qui prend le dessus dans la majorité des cas mais plus la peur d’échouer, la peur d’être juger, et puis zut : je ne sais pas faire OK? Je sais faire plein de choses, mais pas ça. Et encore moins quand c’est imposé par une personne que l’on apprécie que moyennement. J’ai pris l’exemple des amis alors, ça, ça va, mais transformons l’exemple au travaille avec un patron que vous n’appréciez pas plus que ça. Et qui vous impose un travail en dehors des compétences habituelles. Peut être que certaines apprécieront le challenge, peut être que d’autres iront à reculons en râlant…

C’est un peu comme ça que l’on a appris petit à petit. Parce que notre champ de compétences et notre zone de confort ne sont pas vu comme extensibles, malléables, élastiques. Pourtant, ils le sont… Et c’est là qu’arrive la leçon. 

Quand on entreprend, on devient ce patron qui va challenger constamment et vouloir comprendre, apprendre, faire évoluer son projet.
Et on va comprendre assez vite que tout est possible. 

  • Apprendre à faire une déclaration de CA sur l’URSSAF
  • Gérer l’administratif de son entreprise
  • Développer une communauté autour de son projet
  • Démarcher, prospecter, trouver des clients
  • Créer des offres, une grille de prix
  • Envoyer des factures, et relancer

Pour ne citer que quelques éléments quand on se lance à son compte. Mais finalement, ça va encore bien au-delà de cela ! 

Laissez-moi vous partager une histoire. Il y a quelques semaines, j’étais avec une GIRLBOOST en coaching. Nous avions travaillé son persona, le client cible, son analyse concurrentielle, et nous étions en train de mettre en place le fameux tunnel de conversion. Ce sont les différentes étapes pour acquérir des prospects puis les transformer jusqu’à la fidélisation. Si le sujet vous intéresse, il y a un épisode de podcast et un article dédiés à ce sujet. Bref, nous étions en train de définir l’acquisition : c’est la première étape. 

Dans l’acquisition, on retrouve notamment les réseaux sociaux, l’évènementiel etc… C’est là où l’on va à la rencontre de son prospect : que ce soit grâce à la communication (des posts, du contenu gratuit…) ou que ce soit grâce à notre présence (bouche à oreille, salon etc…)

D’après l’analyse du client cible de ma GIRLBOOST, son persona était un persona connectée sur les réseaux sociaux, et très consommateur de PODCAST. Et je vous jure que je ne parle pas de moi héhéhé je vous vois venir. Donc naturellement, dans les canaux d’acquisition qu’elle avait envie de développer, on retrouve des réseaux sociaux : que l’on a bien ciblé, et du podcast. 

Bon que son client cible aie l’habitude d’écouter des podcasts par rapport à sa problématique, c’est une chose. 

Vouloir créer un podcast en est une autre. 

Personnellement, et je vous le dis souvent en coaching, je trouve que cela ne vaut pas le coût de se forcer à faire quelque chose qui ne nous inspire pas profondément. 

Se forcer à créer un compte instagram, à développer une chaîne YouTube, à écrire des articles de blog

Faire du contenu qu’on se le dise, ça prend beaucoup de temps et je trouve qu’il est important d’y prendre du plaisir pour ne pas que cela devienne une charge. Et qui plus est, une charge négative dans laquelle on y va à reculons là aussi… 

Ce n’était pas son cas : en réalité, elle avait très envie de développer son podcast. C’est quelque chose qui la stimulait. Mais en même temps qu’elle m’en parlait avec des étoiles plein les yeux, elle s’est arrêtée et a dit « mais je peux pas faire ça en fait, je ne sais pas comment on crée un podcast. »

Je ne sais pas comment on fait. 

  • Moi non plus, avant de lancer le podcast GIRLBOOST, je ne savais pas comment créer, enregistrer, monter, diffuser. 
  • Moi non plus, avant de créer le carnet GIRLBOOST, je ne savais pas comment utiliser indesign, faire de la mise en page, créer de toute pièce. 
  • Moi non plus, avant de créer mon site GIRLBOOST, je ne savais pas ce qu’était un constructeur de thème, comment travailler l’UX en fonction des Devices…

Et peut-être que toi non plus. 

Quand elle m’a dit, ça c’est ce que je lui ai dit. Moi non plus. Et pourtant, aujourd’hui je sais. Et toi non plus, à un moment donné, tu ne savais pas et aujourd’hui tu sais. 

Alors comment en est-on arrivé là? 

Et bien on s’écoute : et on va se former, on va trouver des contenus gratuits, peut être des contenus payants aussi, on va investir en nous, en notre idée, en notre projet… 

  • On va investir d’abord du temps, pour comprendre quoi faire et comment faire. 
  • On va investir de l’argent : dans du matériel, des logiciels, une formation. 
  • Et puis on va tester. On va expérimenter, on va monter, on va créer. 

Et si ça fonctionne bien, on va continuer. Et à force de faire, et de créer, on va s’améliorer. Et après quelques années, on sera peut être même experte. Et ainsi de suite…

La seule limite que l’on n’a, que l’on entreprenne ou pas, c’est nous-même. On se limite à ce que l’on connaît, on se limite à ce que l’on pense être, on pense ne pas y arriver, ne pas être faite pour cela, ne pas être comme ci ou comme ça…. Et pourtant, ce ne sont que des croyances. Cela fait sûrement partie de ce que l’on appelle les croyances limitantes. Celles qui nous empêchent parfois d’avancer, et d’évoluer vers son plein potentiel. 

Je crois que c’est l’une des plus belles leçons que l’on apprend assez rapidement quand on entreprend. 

Tout devient possible. On est en train de créer. Créer un projet qui nous ressemble, que l’on va amener exactement là où l’on veut. Que l’on va façonner de la façon dont on veut. Et le champ des possibles est immense car on peut faire ce que l’on veut. 

Et si cette leçon est assez évidente quand on se lance à son compte parce que ça fait un peu l’effet coup de pied au cul, et bien c’est valable pour tout le monde. 

Il suffit de retenir que nous sommes notre propre limite. Et que si on a envie de faire quelque chose : 

  • Apprendre à jouer d’un instrument
  • Apprendre à faire un nouveau sport, une autre activité
  • Créer un nouveau projet 
  • Faire une reconversion vers un tout nouveau domaine 

Alors on peut le faire. On a tout à disposition et il nous suffit juste, juste d’y croire et d’y aller. D’investir en temps, en argent et développer ainsi ses compétences, ses passions, son soi profond. 

Alors les GIRLBOOST, prêtes à retrousser vos manches et dépasser vos limites pour aller vers ce qui vous plait vraiment? Prêtes à être pleinement vous et à utiliser ce potentiel qui dormait dans votre zone de confort?  Tout va bien se passer… il n’y a plus qu’à se lancer ! 

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La leçon numéro 1 de l'entrepreneuriat tu es ta seule limite
Ce que je retiens de mon entrepreneuriat tout est possible

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