Camille de Girlboost avec la pancarte Girl Power

Veille concurrentielle & Benchmark : comment tirer le meilleur de la concurrence?

Veille concurrentielle et benchmark : comment tirer le meilleur de la concurrence?

La comparaison… Un vaste sujet qui nous touche toutes de près ou de loin ! Car il y a comparer et comparer… 

Se comparer : très peu pour nous les Girlboost, car chaque Girlboost est unique et cela ne sert à rien de comparer la réussite, les projets, les physiques… L’important, c’est juste d’être bien alignée avec soi-même, et heureuse. Avec sa propre définition ! No matter what. La comparaison ne tient donc pas dans ces conditions. STOP RIGHT NOW si ce n’était pas déjà le cas.

Mais on peut comparer : sur le marché avant d’acheter, observer ce qui se passe ça et là, analyser et en tirer des leçons et des conclusions : ça, c’est le vrai pouvoir de la comparaison… Qui a bien son petit nom dans le jargon du digital : le benchmark ! 

Le benchmark grossomodo, c’est un outil de comparaison qui sert à évaluer la performance d’une entreprise sur son secteur économique et la comparer aux meilleurs acteurs du secteur. Sortons du jargon un peu expert et dessinons ensemble une définition un peu plus intelligible : le benchmark, c’est le fait d’analyser une entreprise (mais ça pourrait être aussi un produit, un objet, un projet…) dans son secteur et bien sûr le comparer aux meilleurs acteurs pour voir un peu ce qu’elle (ou il) pourrait faire pour optimiser ses performances, s’améliorer….

Personnellement, j’utilise le benchmark dans ma vie de tous les jours : par exemple, lorsque je me mets en quête d’une nouvelle bouilloire, je vais aller regarder les différentes bouilloires qui répondent à tous mes critères et les comparer sur le marché. 

Je vais comparer le prix, les avis, les fonctionnalités, la marque avant de faire mon choix, le tout dans un joli tableau pour être au cordeau ! Ben oui, comment savoir sinon quoi acheter, et ce qu’il y a de mieux sur le marché? Je donne l’exemple d’une bouilloire côté vie perso, mais côté vie pro, cela revient aussi à : 

> Comparer les logiciels aux mêmes fonctionnalités

> Les outils de travail dont nous pourrions avoir besoin : par exemple, les micros pour le podcast, les dictaphones, les webcams et ainsi de suite… Il y a tant de choses à comparer, et tant d’offres disponibles sur le marché qu’il est difficile de s’y retrouver. 

En bref, je suis sûre que vous avez déjà réalisé des benchmarks sans même vous en rendre compte ! Car ce n’est ni plus ni moins qu’une méthodologie de comparaison…. Et l’éducation française nous a bien souvent poussées vers cette notion de comparaison, la première de la classe, la dernière…. Il y aurait bien des choses à redire mais nous nous égarons ! 

Revenons au benchmark : il se combine à merveille à … la veille concurrentielle ! Faire de la veille…. J’ai toujours à l’esprit l’image d’une espionne, un peu comme Fantômette qui est en train de guetter dans l’ombre ce qui se passe ! C’est un peu ça la veille concurrentielle… Mais surtout : c’est analyser la concurrence directe et indirecte présente sur le marché par rapport à son projet. 

Côté concurrence directe : il s’agit des concurrents qui proposent exactement la même chose que vous. 

Côté concurrence indirecte : il s’agit des concurrents qui répondent au même besoin mais avec un service ou un produit différent. Par exemple, toutes les alternatives qu’il y a sur le marché ! 

Faire de la veille concurrentielle, concrètement c’est aller analyser ce que fait la concurrence. Mais l’idée n’est pas seulement d’avoir en tête un nom ou deux parmi ses concurrents, mais d’aller assez loin dans l’analyse. Pour un concurrent donné, on doit être capable de dire : 

  • Son offre, son prix 
  • Les canaux digitaux qu’il utilise dans sa stratégie
  • Les arguments de ventes qu’il met en avant 
  • S’il est très présent ou non sur ces canaux : à quelle fréquence il publie un post ? une newsletter? 
  • Fait-il des partenariats? Est-il associé à d’autres marques? 
  • Quels sont ses points forts? 

Je veux tout savoir. On parle ici d’un concurrent, mais en réalité : on veut tout savoir de notre milieu concurrentiel => Qui contient plusieurs concurrents ! Généralement, on analyse 5 à 10 concurrents possibles. 

Pourquoi? Tout simplement parce que la roue du marketing est une roue qui tourne depuis des années et on ne va pas la réinventer. Pour autant, on va largement s’en inspirer et la veille concurrentielle va nous permettre deux choses : 

  • D’analyser ce qui marche le mieux sur le marché à l’heure actuelle et le réutiliser
  • Trouver un axe de différenciation par rapport à sa concurrence

La concurrence est souvent vue comme une bête noire, un peu négative, que l’on va parfois fusiller du regard ou jalouser… Je vous arrête tout de suite : peut-être qu’avant c’était le cas, mais aujourd’hui nous avons le choix : le choix de voir le verre à moitié vide ou à moitié plein. 

 

Personnellement, je vois la concurrence comme quelque chose de parfaitement stimulant, cela nous pousse à nous améliorer, à être toujours meilleures, et à ne pas nous reposer sur nos lauriers. Mais j’irai même encore plus loin : avant de me lancer dans l’entrepreneuriat, j’ai contacté des concurrents pour leur parler de mon projet et leur poser des questions ouvertement. « Mais elle est folle? » Pas du tout, le fait de développer son projet n’est pas un gros mot, loin de là, même par rapport à son concurrent, et mon côté bisounours me pousse à militer pour une concurrence bienveillante. 

Des concurrentes parfois me contactent pour avoir des informations sur des contenus Instagram, sur des graphismes que j’ai mis en place etc… Et j’ai toujours été ravie de leur répondre et de les aider dans leurs recherches. Nous sommes toutes dans un même bateau : et dans ce bateau, il y a largement assez de place pour tout le monde ! D’ailleurs, quand j’ai décidé d’arrêter une partie de mon freelancing, j’ai été ravie de placer le nom de mes concurrentes auprès de mes clients pour me remplacer. Comme quoi, au-delà même de la bienveillance, cela permet une belle émulation positive. 

Alors, on a parlé de benchmark, de veille concurrentielle et de concurrence bienveillante… Mais quel est le lien? Et bien si je devais résumer : 

> La concurrence bienveillante peut vous aider à développer votre projet, votre réseau, vos contacts… C’est un véritable plus sans contrepartie. Donc, c’est une pratique que je ne peux que vous recommander dans la suite de votre projet.

> La veille concurrentielle est fondamentale avant de vous lancer pour bien connaître votre marché ! C’est pourquoi la veille concurrentielle fait partie intégrante de la structuration de votre projet. En 2021, tout est accessible après quelques clics. On peut analyser les fréquences de publications, les canaux, les offres, etc… Très facilement, alors pourquoi s’en priver? La veille est à faire bien sûr dès le début pour bien vous ancrer dans le marché, mais c’est également quelque chose à renouveler, à faire de manière continue… Toutes les semaines, les deux semaines, aller voir un peu ce qui existe sur votre secteur. Abonnez-vous aux newsletters et soyez alertes sur les réseaux sociaux, cela vous permettra d’avancer dans le temps en ayant toutes les clés pour bâtir votre empire. 

> Le benchmark est très intéressant à faire sous plusieurs angles : 

  • Quand le projet est lancé : pour analyser le meilleur du meilleur et révéler vos axes d’amélioration 
  • Quand on veut simplement avancer dans son offre ou dans ses produits… Car se faire ses propres benchmarks quand on a un besoin spécifique, c’est la meilleure solution pour ne pas se tromper ! Et là encore, la concurrence peut vous y aider. Exemple : vous voulez lancer un podcast, mais vous ne savez pas comment faire. Vous allez regarder ce qui se fait, comparer les différentes informations que vous allez trouver, chercher les meilleurs outils. Et in fine : vous pouvez également demander à vos concurrents ou à vos inspirations ce qu’ils conseillent à ce niveau là également. Vous aurez ainsi toutes les informations nécessaires pour valider la meilleure des décisions. 

En bref vous l’aurez compris : 

>  Choisir sur un coup de tête un achat / un axe stratégique / une idée n’est pas forcément la meilleure des alternatives quand on a accès à Google et à autant d’informations

> Négliger son marché et sa veille concurrentielle peut très vite vous desservir car le copier-coller n’est pas la meilleure des options pour avancer ! (axe de différenciation, je dis ça, je dis rien) 

> Enfin, bien maîtriser ses sujets et l’actualité pour ne pas être déstabilisées. 

Ce sont des règles à appliquer dans tous les projets possibles ! Nous avons parlé business bien sûr mais cela marche de la même façon pour un blog ou un projet passion. #TRUE

Ces différentes méthodologies sont là pour vous aider à être READY, et armées pour la suite ! Alors il n’y a plus qu’à… observer, comprendre, analyser, et en tirer le meilleur pour avancer ! 

Rendez-vous sur le groupe GIRLBOOST pour partager vos benchmarks et vos analyses !

 

Et si vous souhaitez recevoir un modèle pour construire votre veille concurrentielle, envoyez « Veille Concurrentielle » à l’adresse camille@girlboost.fr 😉

 

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